éRASME

Sa philosophie

Le pacifisme

Effrayé par les conséquences sociales désastreuses des nombreuses guerres qu’il observe pendant son existence, il n’a de cesse de convaincre par ses lettres ou ses livres les souverains de stopper ces guerres afin d’apporter la paix à leurs peuples respectifs.

Dulce bellum inexpertis

La guerre paraît douce à ceux qui n’en ont pas l’expérience

Érasme, Adage n°3001 (IV, I, 1)

La rénovation de l’Église

L’attitude d’Érasme vis-à-vis de l’institution ecclésiastique suscite de solides critiques de la part des théologiens traditionnels. Ses livres et ses idées contribuent à l’éclosion de la Réforme protestante en prônant une foi personnelle et la pratique active des valeurs évangéliques. Érasme ne devint toutefois jamais protestant et mourut au sein de l’Église catholique romaine.

La tolérance

Érasme est convaincu qu’il ne faut jamais d’emblée condamner les idées d’autrui, car les choses humaines sont par nature ambiguës. L’Humaniste élabore une conception de l’homme qui se définit indépendamment de sa foi religieuse et est doué d’un libre arbitre.

L’unité de la culture européenne

Il se définit lui-même comme un citoyen de l’univers. Refusant toute attache, il recherche seulement les contrées où la culture et l’humanisme sont florissants. Les deux seules sociétés dont il se réclame – et en cela il fut européen – sont la République des Lettres et l’Église chrétienne.

Ego mundi civis esse cupio communis omnium vel peregrinus magis.

Je désire être un citoyen du monde, l’ami de tous ou plutôt leur hôte.

Érasme, Epistola 1314, V, 129, 2.

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